Ces bourses sont non seulement pour les étudiantes et étudiants de l’Université Sainte-Anne, la seule université francophone de cette province, mais aussi à celles et ceux d’autres universités anglophones.
« La pénurie de main-d’œuvre en santé et particulièrement bilingue est une réalité dans la province », souligne Pierre Roisné, directeur général de Réseau Santé – Nouvelle-Écosse.
L’objectif de ces bourses c’est d’« encourager les étudiant-e-s acadien-ne-s et francophones qui suivent des études en santé, qui seront nos futurs professionnel-le-s et qui aideront la communauté. »
Le directeur général croit aussi que la bourse est une occasion de connaitre les nouveaux étudiants bilingues et de les connecter avec des ressources et les contacts qui existent.
Selon les critères de sélection, d’abord, l’étudiant-e doit être Acadien-ne, francophone ou doit être une locutrice ou un locuteur du français. Le candidat doit être inscrit à un programme de sciences de la santé dans une université en Nouvelle-Écosse, dans des programmes de soins infirmiers, de physiothérapie et d’hygiène dentaire, etc.
Réseau Santé précise que les récipiendaires des années antérieures ne peuvent pas poser leur candidature pour ces nouvelles bourses.
Par ailleurs, les bénéficiaires ne seront pas obligés de rester dans la province après leurs études. « Être récipiendaire de la bourse ne conditionne pas les étudiants à rester dans la province de la Nouvelle-Écosse pour exercer leurs métiers, souligne Pierre Roisné. La bourse nous offre toutefois l’opportunité de recueillir des données afin de comprendre ce qui motive les étudiants à rester en Nouvelle-Écosse. Cela nous aidera à orienter nos actions pour la rétention des étudiants en santé dans la province. »
Selon le directeur général, le dossier des candidates et des candidats est aussi important pour le Réseau. « Nous accordons également une attention particulière à travers les textes rédigés par les étudiants ou les lettres de références qu’ils et elles soumettent pour détecter ceux et celles qui sont déjà sensibilisés au manque de professionnels bilingues dans la province, qui ont déjà contribué à leur communauté et qui voudraient participer au changement dans le futur », déclare-t-il.
Dans une lettre de motivation, la candidate ou le candidat doit mentionner la raison pour laquelle il ou elle souhaite faire une carrière dans le domaine de la santé, son opinion sur la langue comme facteur important dans le milieu de la santé et ses idées pour mieux servir les communautés acadiennes et francophones. La date limite pour déposer sa candidature est le 29 février.
Au moins une bourse de 1 500 $ sera accordée à l’Université Sainte-Anne. De plus, au moins une bourse de 1 500 $ sera accordée aussi à un étudiant ou une étudiante appartenant à un groupe en quête d’équité pour le Réseau Santé.
Les groupes en quête d’équité sont : la communauté 2SLGBTQIA+, les Mi’kmaq et les Premières Nations, les immigrant-e-s, les réfugié-e-s, les personnes en situation de handicap, la communauté afro-néo-écossais-e-s et les communautés religieuses.
Enfin, trois bourses de 1 500 $ seront accordées à des personnes inscrites dans les établissements anglophones de la Nouvelle-Écosse, dont l’Université Saint-Francis-Xavier, l’Université Dalhousie, l’Université du Cap-Breton et l’Université Acadia.
Réseau Santé a trouvé le soutien d’un autre organisme afin de réaliser ce projet. « Nous avons approché l’Office des Affaires acadiennes et de la Francophonie (OAAF), qui était très enthousiaste à nous offrir leur soutien pour le projet », conclut M. Roisné.
Selon le directeur général, le dossier des candidates et des candidats est aussi important pour le Réseau. « Nous accordons également une attention particulière à travers les textes rédigés par les étudiants ou les lettres de références qu’ils et elles soumettent pour détecter ceux et celles qui sont déjà sensibilisés au manque de professionnels bilingues dans la province, qui ont déjà contribué à leur communauté et qui voudraient participer au changement dans le futur », déclare-t-il.
Dans une lettre de motivation, la candidate ou le candidat doit mentionner la raison pour laquelle il ou elle souhaite faire une carrière dans le domaine de la santé, son opinion sur la langue comme facteur important dans le milieu de la santé et ses idées pour mieux servir les communautés acadiennes et francophones. La date limite pour déposer sa candidature est le 29 février.
Au moins une bourse de 1 500 $ sera accordée à l’Université Sainte-Anne. De plus, au moins une bourse de 1 500 $ sera accordée aussi à un étudiant ou une étudiante appartenant à un groupe en quête d’équité pour le Réseau Santé.
Les groupes en quête d’équité sont : la communauté 2SLGBTQIA+, les Mi’kmaq et les Premières Nations, les immigrant-e-s, les réfugié-e-s, les personnes en situation de handicap, la communauté afro-néo-écossais-e-s et les communautés religieuses.
Enfin, trois bourses de 1 500 $ seront accordées à des personnes inscrites dans les établissements anglophones de la Nouvelle-Écosse, dont l’Université Saint-Francis-Xavier, l’Université Dalhousie, l’Université du Cap-Breton et l’Université Acadia.
Réseau Santé a trouvé le soutien d’un autre organisme afin de réaliser ce projet. « Nous avons approché l’Office des Affaires acadiennes et de la Francophonie (OAAF), qui était très enthousiaste à nous offrir leur soutien pour le projet », conclut M. Roisné.