Un groupe de résidents de la région d’Amherst, dans le comté de Cumberland, se mobilise afin de faire connaitre l’héritage historique et culturel de l’ancien village acadien de Beaubassin.
Le Congrès mondial acadien arrive à grands pas en Nouvelle-Écosse. Du 10 au 18 août 2024, les municipalités de Clare et d’Argyle seront le théâtre de cet événement tenu tous les cinq ans dans une région acadienne.
La relève acadienne est en train de construire aujourd’hui la société de demain. Pour mieux comprendre leur réalité, Le Courrier est allé à la rencontre de différents leaders des communautés acadiennes de la Nouvelle-Écosse pour leur demander ce qu’il envisage pour le futur de l’Acadie.
Chaque génération a ses propres défis et sa propre réalité. La communauté acadienne, comme tout peuple, évolue à travers le temps, dans un contexte particulier. Mais est-ce que la vie des Acadiens des nouvelles générations est si différente de celle de leurs prédécesseurs ?
En Atlantique, les francophones n’ont pas le même poids démographique, selon la province où ils se trouvent. Pourtant, les organismes chargés de les représenter l’assurent : chaque voix compte et chaque voix est égale au sein des instances nationales et régionales.
COMEAUVILLE – Le Festival acadien de Clare 2023 a connu un grand succès dans tous les domaines, marqué par un retour à la participation connue avant la pandémie.
Originaire de la province de l’Ontario, Laura Rae, qui vit actuellement à Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, chante depuis un jeune âge. Aujourd’hui, si Laura a d’autres loisirs comme le voyage en bateau, dans sa vie professionnelle, elle se donne entièrement à la musique comme artiste sur scène, mais aussi comme productrice.
Nombreux sont des jeunes en Acadie qui évoluent dans la musique avec un talent hors du commun. Le Courrier a rencontré Sylvie Boulianne qui commence à se frayer un chemin dans le secteur musical. Avec un mélange entre le folk, le pop et la trad dans ses œuvres musicales, Sylvie commence à gagner le cœur de beaucoup de mélomanes.
Le mardi 27 juin, la population néo-écossaise a pris la nouvelle de la mort de l’historien Daniel Paul. Aîné mi’kmaw de la Nouvelle-Écosse, cet historien est connu pour avoir documenté le passé douloureux de l’histoire de ce peuple.
Le jeudi 15 juin, très tard dans la soirée, les libéraux ont livré leur réforme de la Loi sur les langues officielles. Connu sous le nom de loi C-13, ce projet a été adopté sans amendement en troisième lecture au Sénat. La chambre haute n’était pas unanime pour l’adoption de cette loi.
Depuis le début des années 2000, les débats autour de l’écriture inclusive font tache d’huile avec surtout des militants qui s’opposent au système patriarcal existant dans l’écriture, selon eux. Depuis lors, on en parle non seulement sur les réseaux sociaux et les médias traditionnels, mais aussi dans les espaces scolaires et universitaires. Le Courrier s’est intéressé à cette forme d’écrire dans la langue française.