Des conférences, des tables rondes, entre autres, toutes aussi intéressantes et stimulantes les unes que les autres. Normalement ce genre de colloque a lieu dans des plus grandes universités dans d’autres villes francophones au Canada, surtout dans le cadre de l’Association canadienne-française pour l’avancement des sciences (ACFAS). Cette année, grâce aux vaillants efforts des organisateurs à l’Université Sainte-Anne, le colloque a eu lieu sur son campus principal à la Pointe-de-l’Église.
J’ai particulièrement apprécié la variété et la grande qualité des présentations offertes par une brochette de jeunes chercheurs et chercheuses universitaires, et de dirigeants et dirigeantes d’organismes canadiens et d’ailleurs. C’était réellement ravissant de constater l’excellente recherche et érudition qui se réalisent dans nos universités canadiennes et d’ailleurs. Bravo à tout ce monde! Et surtout « chapeau bas! » à Clint Bruce, Université Sainte-Anne, et Natalie Robichaud, Société acadienne de Clare et Fédération culturelle acadienne de la Nouvelle-Écosse, coprésidences au poste de commande de cette admirable réalisation.