le Mercredi 11 septembre 2024
le Lundi 26 février 2024 9:00 Le Journal de Comeauville

Le Journal de Comeauville – 2e édition

Tori Comeau.  — PHOTO : Céleste Huchet
Tori Comeau.
PHOTO : Céleste Huchet
Le Courrier de la Nouvelle-Écosse présente la 2e édition du Journal de Comeauville, réalisé par la journaliste Céleste Huchet, qui met en valeur les femmes dans le sport.
Le Journal de Comeauville – 2e édition
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Les recettes à Céleste

Cookies aux pépites de chocolat au lait 

  1. Préchauffer le four à 325 °F. Tapisser deux plaques à biscuits avec du papier parchemin.
  2. Dans un bol, mélanger 2 tasses de farine, ½ c. à thé de bicarbonate de sodium et ½ c. à thé de sel. Dans un autre bol, avec l’aide d’un mixeur électrique, mélanger 1 ½ tasse de cassonade avec ¾ tasse de beurre. Une fois bien mélangé, ajouter 1 œuf, 1 jaune d’œuf et 1 c. à thé de vanille. Ensuite, ajouter 1 ½ tasse de pépites de chocolat au lait. 
  3. Déposer des portions de 2 c. à soupe de pâte sur les plaques à biscuits. Faire cuire entre 5 et 7 minutes. Laisser refroidir quelques minutes sur les plaques avant de les transférer sur une grille.

Les femmes dans le sport

J’aime beaucoup faire du sport. Selon le temps de l’année, je fais du vélo, du soccer, de l’équitation et du volley-ball. C’est pourquoi j’ai choisi de passer en entrevue deux femmes de Comeauville, qui sont beaucoup impliquées dans le sport. 

Céleste Huchet 

Journaliste 

Entrevue avec Tori Comeau

CH : Où as-tu grandi dans Clare ?

TC : J’ai grandi à La Butte. Ensuite, j’ai vécu à Moncton et à Halifax. J’ai acheté une maison à Comeauville, il y a deux ans. Ma maison est proche du terrain de golf. 

CH : Pourquoi aimes-tu les jeux de l’Acadie ?

TC : J’aime les Jeux de l’Acadie parce que j’ai participé en tant qu’athlète, quand j’avais 10 ans, sur l’équipe de mini-handball. Je me suis fait beaucoup d’amis de différents endroits qui parlent en français et qui jouent différents sports. Je vais toujours aux Jeux de l’Acadie, quand je peux. 

CH : C’est quoi ton sport préféré ?

TC : Mon sport préféré, c’est le hockey. J’ai joué pendant plusieurs années sur différentes équipes, surtout sur des équipes avec des garçons. Maintenant, il y a plus d’équipes pour les filles. Maintenant, j’entraîne l’équipe des filles de l’école secondaire de Clare et je joue sur différentes équipes. Je suis aussi une arbitre de hockey. 

CH : As-tu des animaux ?

Rachelle LeBlanc. 

PHOTO : Céleste Huchet

TC : Oui, j’ai un chien qui s’appelle Bingo et trois chats nommés Mango, Frank et Beans. 

CH : Qu’est-ce que tu fais comme travail ?

TC : Je travaille au Congrès mondial acadien. Je m’occupe de plusieurs dossiers, tels que la foire commerciale et les bénévoles. 

CH : Pourquoi est-ce important d’appuyer les filles dans le sport ?

TC : C’est important d’appuyer les filles dans le sport parce que les filles doivent avoir la même chance que les garçons. Parce qu’elles sont autant capables, et parfois même mieux !

Entrevue avec la Rachelle LeBlanc

CH : Depuis combien de temps joues-tu au volley-ball ?

RL : Ça fait 11 ans. J’ai commencé quand j’avais 12 ans, en 6e année. 

CH : Est-ce que tu es une entraîneuse ?

RL : Oui. Ça fait à peu près six ans que je suis une entraîneuse. J’entraîne l’équipe des Jeux de l’Acadie ainsi que l’équipe des filles séniores, à l’École secondaire de Clare. 

CH : Est-ce que tu as joué à d’autres sports ? 

RL : Oui ! J’ai joué à beaucoup de sports différents. J’ai fait de l’athlétisme. J’ai joué du soccer, de la natation et du basketball, mais mon préféré, c’est le volleyball. 

CH : Est-ce que tu t’occupes des poules à ton père ?

RL : Non, pas vraiment. J’aime les montrer à mes amis. Il y a environ 200 poules !

CH : Qu’est ce que tu fais comme travail ?

RL : Comme travail, je suis une gestionnaire de projets et de recherche pour ce qui est entrepreneuriat. Je travaille avec ton grand-père, Kenneth. Nous organisons  des activités d’entrepreneuriat. L’autre partie de mon job, c’est travailler avec le Centre sur la qualité du homard. Je travaille avec les professionnelles de l’industrie de la pêche aux homards dans le sud-ouest de la Nouvelle-Écosse. 

CH : Pourquoi est-ce important d’appuyer les filles dans le sport ?

RL : C’est important d’appuyer les filles dans le sport parce que ça développe les compétences de leadership. Ça développe aussi la confiance des femmes. C’est vraiment important !