L’idée de répandre la langue acadienne a vu le jour en Jean-Louis quand il était étudiant à la Sorbonne, en France. Il avait une facilité de non seulement apprendre les nouvelles langues, mais il les embrassait avec une fierté acadienne farouche. Son dévouement à créer une langue écrite et parlée fièrement par tous les Acadiens n’était pas juste un rêve, mais une réalité.
En tant qu’ami, j’ai eu le privilège de voir une personne passionnée, pleine de vigueur et d’amour avec un cœur qui ne savait pas comment vivre autrement que pour son Acadie qu’il a toujours aimé et qu’il aimera pour toujours.
Dors bien Jean-Louis. L’Acadie te tient dans ses bras.
Ton grand ami,
Patrick Duffy
Saulnierville