L’une des cibles du dernier plan stratégique de l’établissement, qui est arrivé à son terme en 2018, visait l’inscription de 500 étudiants à temps plein avant septembre 2018. La cible a donc été dépassée de quarante étudiants et étudiantes. Même si cette réussite accuse un peu de retard, la nouvelle est très bien accueillie.
« Cette réussite démontre que nos efforts de recrutement et de rétention, notre culture et en recherche, notre volonté communautés et le fait de d’excellence en enseignement à demeurer ancré dans nos nous positionner comme un établissement de marque de la francophonie canadienne portent leur fruit. Le travail que nous avons effectué depuis plusieurs années, un travail qui est guidé par notre plan stratégique, nous donne de bons résultats », explique Allister Surette, recteur et vice-chancelier.
L ’augmentation est plutôt généralisée et ne peut être attribuée à un secteur spécifique. Elle est répartie sur l’ensemble des programmes et démontre les origines géographiques diversifiées de la nouvelle population étudiante.
Des programmes d’études de grande qualité en français, un milieu chaleureux, des campus sûrs et sécuritaires et l’attention que l’Université Sainte-Anne porte à la réussite et à l’engagement de sa population étudiante sont des facteurs importants en matière de recrutement et de rétention.
De plus, en tant que la seule université francophone en Nouvelle-Écosse et en tant qu’institution reconnue comme ayant l’un des meilleurs programmes d’immersion au Canada, l’Université Sainte-Anne est bien positionnée pour attirer une population étudiante qui souhaite perfectionner son français. La majorité de la population étudiante diplômée est bilingue et profite d’un énorme avantage une fois arrivée sur le marché du travail.
« Sainte-Anne, c’est comme un deuxième chez-moi. Depuis la première fois que je suis venue pour l’immersion, je me suis sentie en sécurité et soutenue. J’ai appris énormément de français lors de mon passage à Sainte-Anne, mais j’ai également appris à aimer la langue et à ne jamais arrêter de l’apprendre et de l’aimer», témoigne Kassidy Boutilier, diplômée du programme Agente de bureau gouvernemental en 2017 et ancienne étudiante des sessions d’immersion en 2014 et 2016.
Tous les signes indiquent que la tendance va se maintenir pour la rentrée de janvier 2020 et que nos campus accueilleront une plus grande population étudiante que l’an dernier.