À la rencontre de Rosalie Melanson
À Stella-Maris, Rosalie Melanson est présidente du comité de leadership. Elle a un intérêt particulier pour les clubs de récréation, qui organisent des activités sportives de toutes sortes.
L’activité physique est sa matière favorite. Ce qu’elle aime le plus dans les cours de gym, c’est le badminton, le ballon chasseur, le soccer et le hockey en salle. Elle aime surtout les séances de soccer, car « personne se dispute et tout le monde a l’fun ».
Rosalie aime aussi les excursions de cueillette de pommes et aller à l’aréna pour faire du patinage. Après les heures d’école, elle est encore pleinement engagée dans le sport, notamment le volleyball et le soccer. « Moi, j’aime beaucoup les sports ! »
Plus tard dans la vie, elle aimerait devenir « une personne active, comme une athlète ».
À la rencontre de Réjeanne Gaudet
Depuis combien de temps enseignez-vous ?
J’ai gradué de Sainte-Anne en ‘91 puis j’ai commencé tout de suite. J’ai remplacé. À ce temps-là, c’était le Conseil scolaire Clare-Argyle. J’ai aussi enseigné dans le Tri-County […] J’ai finalement eu un contrat à terme en 2001. Donc, ça fait déjà plusieurs années que j’enseigne. J’ai enseigné pas mal n’importe quoi !
Présentement, je suis en train de faire Appui précoce en littératie (APL) en petit groupe, Intervention préventive en lecture-écriture (IPLÉ) et je suis aussi mentor en Pratiques pédagogiques.
Pourquoi avez-vous décidé de devenir enseignante ?
J’ai eu de bonnes enseignantes en grandissant qui m’ont vraiment marqué [comme] Mariette Belliveau. Elle faisait du français d’enrichissement. Je l’ai eu de 3e année à 7e année. J’ai adoré ça. On était juste un petit groupe et puis on faisait toutes sortes de belles choses en salle de classe.
À l’école secondaire, j’ai beaucoup apprécié Jocelyne LeBlanc, Corinne Pothier aussi. C’était parmi mes favorites. Juste leur style, la façon dont elles livraient les messages, c’était vraiment bien.
Pourquoi avez-vous choisi d’enseigner en français ?
J’ai toujours eu à cœur le français. Je me considère Acadienne à 100 % […] J’ai grandi en français. On était peut-être une des seules familles [avec un] père qui nous faisait regarder des émissions en français. Donc, j’ai toujours été entouré du français. J’aurais pu avoir un poste dans d’autres conseils scolaires, mais j’ai décidé d’attendre 15 ans avant d’avoir un poste au CSAP parce que je l’ai tellement à cœur.
Qu’est-ce qui vous rend fier d’enseigner au CSAP ?
Probablement que je suis capable d’enseigner en français parce que, c’est comme j’ai dit, je l’ai tellement à cœur et je vois la valeur et l’importance de garder notre langue. On dirait que de plus en plus, on la voit s’en aller. Donc, je pense que c’est important d’essayer de travailler fort pour pouvoir la garder. On est chanceux qu’on est rendu à ce point ici pis qu’on l’a pas perdu déjà.
Qu’est-ce que vous souhaitez pour l’avenir de la jeunesse acadienne et francophone de Nouvelle-Écosse ?
J’espère qu’ils pourront trouver de la fierté d’être francophone et de crier, de participer à toutes les activités qu’ils peuvent. On est chanceux. On a des festivals par ici. Il y a le CMA qui s’en vient. J’espère que les jeunes vont vraiment en profiter.
Fiche de l’école
Logo de l’école :
https://drive.google.com/drive/folders/1m7Vk_CM3jtUeetNrmkWqFEeEITjQ8EN_?usp=sharing
Média sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100063559243115
Instagram : https://www.instagram.com/ecole_stellamaris/
Twitter : https://twitter.com/ESM_Officiel
Particularité de l’école
L’École Stella-Maris est l’une des deux écoles élémentaires dans la région de Clare. Située à Meteghan, cette école a été construite en 1965. Elle a connu une rénovation majeure en 1994, modernisant ses installations pour offrir un environnement propice à l’apprentissage.
L’école offre le programme de la prématernelle de la Nouvelle-Écosse – Grandir en français par l’entremise de son partenaire, Notre jardin d’enfance. Les enfants du programme sont sur un site externe.