FRANCOPRESSE – Le 25 juin 1678, on se bouscule au portillon de la cathédrale de Padoue, en Italie. Ce n’est pas une cérémonie religieuse ou le couronnement d’un roi qui attire la foule, mais un évènement tout aussi historique : une femme soutient une thèse de doctorat. 345 ans plus tard, la question du droit à l’éducation pour les femmes demeure inégale dans le monde.
Pour marquer le Mois du patrimoine africain et surtout pour montrer comment l’Afrique a exercé son influence sur la musique haïtienne par l’intermédiaire des esclaves marrons, nous avons publié la première partie de cette chronique, où nous avons montré les différentes variétés de cette musique et quelques figures iconiques qu’elle a connues. Il nous reste à voir le rapport existant entre la musique haïtienne et la politique et à voir comment cette musique a évolué.
Dans l’histoire de l’Île de la Tortue, nom originel de l’Amérique du Nord, peuplée par des gens nommés des « Indiens » par des colonisateurs européens qui se croyaient en Inde ou en Chine, trois groupes humains se sont trouvés marginalisés, alors que l’anglophonie blanche (États-Unis ou empire britannique) se proclamait maîtresse des lieux : les autochtones, les francophones, et les noirs.
Ce mois de février est titré Mois du patrimoine africain en Nouvelle-Écosse. Cependant, nombreux sont les Néo-Écossais qui ignorent non seulement la richesse du patrimoine immatériel africain, mais aussi comment il a nourri d’autres cultures. Il s’agira ici d’explorer les traditions musicales d’Haïti, en commençant par l’influence de l’Afrique par l’intermédiaire des esclaves marrons.
FRANCOPRESSE – La récession attendue par les économistes en ce début d’année 2023 tarde à se matérialiser. Un faible taux de chômage au Canada et une économie mondiale plus vigoureuse que prévu sont d’ordinaire de bonnes nouvelles, mais dans le contexte de sa lutte contre l’inflation, la Banque du Canada ne verra pas les choses de cette façon. Attendez-vous à ce que les taux d’intérêt restent élevés cette année.
FRANCOPRESSE – Chocolats en forme de cœur, abondance de froufrous et de paillettes rouges, pendentifs estampillés «Je t’aime» par centaines dans les vitrines des magasins : difficile de passer outre le fait que la Saint-Valentin s’en vient à grandes enjambées, renforçant les stéréotypes liés à l’amour romantique.
Réédité en 2014 par les éditions Livre de Poche Jeunesse, L’île au trésor est un roman écrit par l’auteur Robert Louis Stevenson. D’abord publié en 1881 et 1882 comme roman-feuilleton, il devient un livre véritable dès 1883. Passionné de voyages, Stevenson traduit son imagination sur papier en produisant de la littérature populaire d’aventures. L’île au trésor rassemble en son cœur les éléments principaux du genre de l’aventure, tout comme il fait ressortir pour les plus jeunes des leçons symboliques précieuses.
Il y a bientôt un an, la Russie envahissait l’Ukraine. Au Canada comme ailleurs, un élan de solidarité s’est manifesté envers la cause ukrainienne, une vague d’indignation et de sympathie stimulée par la couverture médiatique ainsi que par les médias sociaux. À quelques égards, les enjeux de ce conflit rappellent ceux d’un autre affrontement entre la Russie et les puissances occidentales : j’ai nommé la guerre de Crimée (1853-56).
Cette interrogation parait pertinente, voire existentielle, pour tous ceux et celles qui vivent dans l’espace francophone ou qui s’y intéressent à des fins de recherche. Je ne suis pas le premier à m’interroger à ce sujet.
Monsieur le rédacteur, nous nous permettons de vous faire parvenir ces quelques lignes au sujet des employées de la Villa acadienne de Meteghan, et ce suite à un séjour prolongé de nos parents au sein de ce foyer de soins spéciaux.